En 2022, je passe au zéro déchet ! C’est plus qu’un geste, c’est un vrai changement d’esprit et de manière de vivre. Découvrez nos conseils.
Pour l’écologie, la quantité de déchets non recyclables que l’on produit est inquiétant pour la planète.
En effet, leur décomposition, notamment l’incinération du plastique, est beaucoup trop polluante pour l’environnement.
Sans oublier les déchets qui ne peuvent pas être détruits et qui finissent directement dans nos océans, menaçant aussitôt la biodiversité.
Diminuer son impact sur l’environnement devient alors une priorité pour protéger la planète.
Lorsqu’on souhaite réduire sa production de déchets, cela implique de changer ses habitudes de consommation : acheter moins de choses, préférer l’occasion plutôt que le neuf, récupérer, recycler, etc. Et côté alimentation, se tourner vers le vrac ou l’achat en gros.
Autre avantage, se tourner vers le vrac alimentaire par exemple, c’est aussi découvrir toute une gamme de produits bio, sans pesticide et qui ont poussé dans un environnement sain et adapté.
De plus, acheter en vrac signifie cuisiner soi-même et ainsi éviter les plats préparés surchargés en sel et additifs divers.
Ne plus produire de déchets, cela signifie repenser sa manière de consommer.
Adopter le zéro déchet, concrètement, c’est choisir de ne consommer que l’essentiel, en évitant l’inutile.
Recycler les meubles et objets (les transformer, les modifier, leur donner une seconde vie) plutôt que de les jeter. Pratiquer le Do It Yourself : bricoler, fabriquer soi-même ses vêtements ou acheter de seconde-main, cosmétiques, produits ménagers, etc.
Il s’agit aussi de trouver une alternative éthique et écologique à chaque chose, à chaque objet du quotidien qui peut être remplacé, l’idéal étant d’y aller pas à pas.
Il est inutile de changer de manière directe. Le plus important, c’est d’être en accord avec ses convictions, et allier conscience et action. Aller trop vite pourrait même finir par vous décourager ! Il faut prendre le temps de laisser les habitudes s’installer.
